Visite guidée de la Place Vendôme à Paris

La célèbre Place Vendôme dans le 1er arrondissement de Paris figure parmi les plus belles places de France. Située au nord du jardin des Tuileries, il s’agit d’un magnifique exemple d’architecture classique en France, à l’instar des places de la Concorde (Paris), de la Bourse (Bordeaux) et Stanislas (Nancy). Haut-lieu de l’argent et du luxe, la Place Vendôme abrite des établissements renommés et prestigieux : le Ritz, Cartier, Rolex, Chanel Joaillerie, ainsi que le ministère de la justice…, et en son centre trône la non moins célèbre colonne Vendôme.

Place Vendôme à Paris © French Moments

Histoire de la Place Vendôme

L’architecture de la place a été confiée à Jules Hardouin-Mansart. Respectant les contraintes d’un plan d’urbanisme rigoureux, il dessina la place en 1699 avec ses façades classées monument historique.

Initialement baptisée Place Louis le Grand en l’honneur de Louis XIV, la place fut ensuite renommée Place des Piques à la Révolution puis Place Internationale en 1871 pendant la seconde Commune de Paris. Aujourd’hui, la place tient son nom de l’ancien Hôtel de Vendôme qui se situait initialement à cet emplacement.

La Place Vendôme dans le tissu urbain de Paris au 18e siècle.

Les origines de la place du 17e siècle à la Révolution

Le projet de création d’une place sur le site fort mal famé du couvent des Capucines et de l’hôtel du duc de Vendôme (fils d’Henri IV et de Gabrielle d’Estrées) date de 1677. Ce dernier fut acquis par Louvois, surintendant des bâtiments, au nom du roi en 1685 avec le projet de tracer une place dans le centre de laquelle trônerait une statue monumentale de Louis XIV. Les architectes Jules Hardouin-Mansart et Germain Boffrand suggérèrent d’en faire une vaste place rectangulaire, d’abord appelée Place des Conquêtes, en écho à la Place des Victoires, située non loin de là.

On commença alors à construire les façades avant les bâtiments qui devaient abriter des institutions prestigieuses (bibliothèque royale, hôtel de la Monnaie, hôtel des Académies, hôtel des Ambassadeurs).

Toutefois, à la suite d’un ralentissement du chantier qui devait ne pas aboutir (le Trésor ayant dépensé 2,3 millions de livres), le roi céda gratuitement le terrain de la place à la ville de Paris en 1699. Ainsi, le projet public initial fut abandonné au profit d’une opération privée, dirigée par Jules Hardouin-Mansart. Le roi exigea cependant que les dessins des façades fussent conservés, le nouveau projet devant inclure des hôtels particuliers aux façades uniformes. Louis XIV voulut également réduire les dimensions initiales de la place (213 mètres sur 224). Initialement rectangulaire, elle fut remaniée en réduisant son emprise d’une vingtaine de mètres de chaque côté pour constituer un plan carré avec des pans coupés aux angles.

Une statue équestre en bronze de Louis XIV habillé à l’antique sculptée par François Girardon pour l’inauguration du projet de 1699, fut placée au centre de la place.

Contrairement à la Place de la Concorde, la Place Louis le Grand est fermée car il fut décidé de la traverser par un axe Nord-Sud reliant la rue Saint-Honoré à la rue des Capucines.

L’architecte ne souhaita pas pourvoir le rez-de-chaussée d’arcades car les immeubles étaient destinés à la résidence.

Les toits à la Mansart étaient percés à l’origine d’une alternance de lucarnes et d’œils-de-bœuf (ces derniers seront pour la plupart remplacés par des lucarnes au 19e siècle).

La Place Vendôme © French Moments

La nouvelle place prit du temps à prendre forme, les terrains situés derrière les décors de façades ne trouvant pas acquéreur rapidement. Entre 1702 et 1720, les lots sont acquis en spéculation par des financiers, des architectes et des fermiers généraux. En 1718, le célèbre banquier John Law acquit près de la moitié de la place avant de connaître la faillite deux ans plus tard (il échappera de justesse à un lynchage par les agioteurs sur cette même place !). Mais il semblerait que ce fut l’architecte Hardouin-Mansart lui-même qui bénéficia d’affaires lucratives en acquérant en 1703 trois des plus beaux lots de la place (numéros 7, 9 et 11). Le lot 11 devint à partir de 1717 la Chancellerie royale (aujourd’hui le ministère de la justice).

La Place des Piques pendant la Révolution

Autant le Louvre symbolisait le pouvoir monarchique, autant la Place Louis le Grand avec ses hôtels particuliers évoquait les privilèges. Il n’est donc pas étonnant que les révolutionnaires aient été attirés par ce haut-lieu symbolique.

La Place Louis le Grand a subi la Révolution et ses conséquences pendant l’année 1792.

Le 8 août 1792, une troupe de femmes menées par Théroigne de Méricourt massacra neuf prisonniers royalistes avant de parader sur la place leur tête au bout de piques. Suite à cet incident, la Place Louis le Grand fut renommée Place des Piques et le restera jusqu’en 1799.

Le 10 août, Danton organisa la chute de la royauté et investit le lendemain la Chancellerie royale pour y installer le gouvernement provisoire de la République. Devenu ministre de la justice et chef du gouvernement provisoire, il a organisé dans le bâtiment du ministère la bataille de Valmy où les Français ont vaincu les armées prussiennes et autrichiennes.

L’ancienne Chancellerie, aujourd’hui Ministère de Justice sur la Place Vendôme © French Moments

Quant à la fameuse statue équestre de Louis XIV, sculptée en 1692, elle fut déboulonnée le 13 août 1792. Sa chute entraîna la mort d’une « crieuse » de « l’Ami du Peuple » (le journal de Marat), Reine Violet. Pour provoquer la chute de la statue, elle jeta une corde pour l’enserrer et l’abattre. Mais ignorant que le cheval de bronze et Louis XIV avaient déjà été déboulonnés, la vendeuse du journal, suspendue à la corde, fut écrasée par la chute de la statue. Le seul vestige de la statue est exposé au musée Carnavalet (4e arrondissement) : il s’agit du pied du roi en bronze, d’un poids de 150 kilos.

Remarquez à gauche du portail du ministère la pancarte en marbre « mètre étalon » posée en 1796 et 1797 (et remplacée en 1848) pour familiariser les parisiens à cette nouvelle mesure. Elle faisait partie d’un ensemble de 16 mètres-étalons dispatchés dans la capitale et dont seulement quatre subsistent aujourd’hui (les trois autres situés au 36 de la rue de Vaugirard, à Croissy-sur-Seine (Yvelines) et à Sceaux (Hauts-de-Seine). L’unité de base de longueur du Système international fut officiellement définie pour la première fois le 26 mars 1791 par l’Académie des sciences.

Le soir du 20 janvier 1793, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau (qui venait de voter la mort de Louis XVI) fut poignardé d’un coup d’épée au Palais-Royal par un ancien garde du corps du roi. Transporté au domicile de son frère, place Vendôme, il expira le lendemain quelques heures avant l’exécution de Louis XVI. Le peintre Jacques-Louis David fut chargé d’exposer son corps dans une mise en scène grandiose sur l’actuelle Place Vendôme. On plaça ainsi le corps sur un socle au milieu de la Place des Piques, nu et sanglant, simplement recouvert d’un drap laissant apparaître sa plaie. Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau fut considéré comme le « premier martyr de la Révolution ».

Après la Révolution

En 1806, parait un décret du 19 février approuvant le percement de la rue Napoléon (actuellement la rue de la Paix), entre la place Vendôme et le boulevard des Capucines, autorisant de fait la destruction du couvent des capucines. Le décret avait pour ambition d’en faire la plus belle rue de Paris et précisait également qu’une colonne monumentale soit dressée au centre de la place sur le modèle de la colonne Trajane à Rome avec le bronze des canons confisqués à Austerlitz.

La Rue de Castiglione © French Moments

La rue de la Paix fut terminée sous le règne de Louis-Philippe et devint un lieu de passage prestigieux pour les différentes délégations étrangères se rendant au palais des Tuileries.

Marie-Antoine Carême (1784-1833) y ouvra sa première pâtisserie avant d’officier dans les cuisines de toutes les cours d’Europe et celles des nouveaux riches parisiens. Mais c’est le réaménagement du quartier autour de l’opéra Garnier par le baron Haussmann en 1861 qui contribua à faire de la rue de la Paix et de la Place Vendôme un haut lieu du commerce de luxe.

La colonne Vendôme

A la place de la statue équestre de Louis XIV qui trônait au centre de la Place Vendôme, Napoléon fit élever la colonne Vendôme en 1810. Cette imitation de la colonne Trajane de Rome a été sculptée par Etienne Bergeret et était à l’origine surmontée d’une statue de Napoléon en César par Antoine-Denis Chaudet.

La colonne Vendôme au milieu de la place © French Moments

En dressant le monument, l’ambitieux empereur souhaitait rendre hommage à ses soldats vainqueurs d’Austerlitz.

Depuis son édification, elle a changé de nom à plusieurs reprises : colonne d’Austerlitz, puis colonne de la Victoire avant de devenir colonne de la Grande Armée.

Comme à Rome, la colonne parisienne comporte également un bas-relief en spirale. 425 plaques de bronze ont été sculptées d’après les dessins de Pierre Bergeret et illustrent toute la campagne d’Austerlitz (1806), du camp de Boulogne jusqu’au retour de Napoléon et son armée victorieuse à Paris le 27 janvier 1806. Mises bout à bout, ces plaques atteignent une longueur de 220 mètres !

Détail de la frise gravée sur la colonne Vendôme © French Moments

La hauteur de la colonne de bronze est de 44,3 mètres et son diamètre moyen est de 3,60 mètres. Il est communément décrit que la colonne a été recouverte d’une chape coulée avec le bronze de 1200 canons confisqués aux armées russes et autrichiennes. Or, les historiens estiment que 130 canons au plus auraient été saisis, le nombre avancé étant sans doute à but de propagande.

Enfin, la colonne est creuse car un escalier intérieur permet d’accéder à une plate-forme au pied de la statue de l’empereur.

La statue de Napoléon en César au sommet de la colonne Vendôme © French Moments

La base cubique de la colonne Vendôme est en granite de Corse et les bas-reliefs de bronze représentent un amoncellement de trophées, canons, armes, drapeaux et uniformes de l’armée autrichienne. La porte d’entrée est surmontée de deux Renommées qui soutiennent une plaque en bronze dont l’inscription latine dédicatoire évoque la campagne napoléonienne de 1806 :

NEAPOLIO IMP AVG

MONVMENTVM BELLI GERMANICI

ANNO MDCCCV

TRIMESTRI SPATIO DVCTV SVO PROFLIGATI

EX AERE CAPTO

GLORIAE EXERCITVS MAXIMI DICAVIT

« Napoléon empereur auguste, a consacré à la gloire de la Grande Armée, cette colonne, monument formé de l’airain conquis sur l’ennemi pendant la guerre d’Allemagne en 1805, guerre qui, sous son commandement, fut terminée dans l’espace de trois mois ».

Le socle de la colonne Vendôme © French Moments

A chaque changement de régime politique, la statue qui surmonte la colonne a été remplacée par une autre. Ainsi, la première statue de Napoléon le représentait en costume d’empereur romain, tenant dans sa main gauche le globe terrestre, surmonté d’une Victoire ailée. Cette statue fut brièvement remplacée par celle d’Henri IV le 3 avril 1814 puis sous Louis XVIII par une fleur-de-lys. Le 28 juillet 1833, sous la monarchie de Juillet, ce fut une statue de Bonaparte en petit caporal (revêtu d’une redingote et coiffé d’un bicorne) exécutée par Charles Emile Seurre qui se trouva au sommet de la colonne. Le 4 novembre 1863, sur ordre de Napoléon III, une statue similaire à celle d’origine fut rétablie. Similaire à celle qui surmonte la colonne aujourd’hui, la statue représente Napoléon en César, drapé à la romaine et couronné de lauriers. L’ancienne statue de Napoléon en petit caporal fut transférée dans la cour d’honneur de l’hôtel des Invalides où elle se trouve encore aujourd’hui.

Quant à la colonne, elle fut abattue le 16 mai 1871 par le peintre Gustave Courbet, délégué de la Commune au Comité des beaux-arts. Celui-ci fut condamné à reconstruire le monument à l’identique et à ses frais.

La statue de Napoléon (colonne Vendôme) déboulonnée en 1871

Or, si le peintre négocia d’étaler le paiement à 10 000 francs par an pendant 33 ans, il mourut avant d’avoir payé la première traite. C’est cette dernière version que nous pouvons admirer aujourd’hui.

Dans le même style de monument, on peut mentionner la colonne de Juillet située au centre de la Place de la Bastille.

La Place Vendôme et ses hôtels particuliers

Plan de la Place Vendôme

La Place Vendôme mesure 213 mètres sur 224 et tous ses hôtels sont unifiés et réunis, avec leurs façades rythmées de pilastres corinthiens monumentaux qui relient les étages, leur conférant une envergure majestueuse digne d’un palais. Malgré cette structure rigoureuse, la monotonie est évitée grâce aux avant-corps des façades qui se répondent face à face, et aux angles de la place amortis par des pans coupés.

Hôtels particuliers bordant la place Vendôme © French Moments

Plus d’une vingtaine d’hôtels particuliers, chargés d’histoire, bordent la place. Certains ont gagné une réputation historique :

  • L’hôtel Bataille de Francès (n°1). Il date de 1723 et a été construit pour Pierre Perrin, secrétaire du Roi. Après avoir abrité l’hôtel Bristol (où logeait parfois le roi Edouard VII du Royaume-Uni), il est devenu l’hôtel de Vendôme).
  • L’hôtel de Bourvallais (n°13) est le siège du ministère de la Justice. Il a été érigé en 1699 pour Joseph Guillaume de La Vieuville. Racheté en 1706 par le financier Paul Poisson de Bourvallais, il est devenu le siège de la Chancellerie suite à la réunion du bâtiment avec le numéro 11.
  • L’hôtel de Gramont (n°15) abrite aujourd’hui le célèbre Hôtel Ritz, un des plus grands palaces parisiens. Il doit son nom au duc Antoine Charles IV de Gramont qui a épousé la chambrière d’un médecin de Louis XIV. En 1714, le financier John Law logea dans l’hôtel et en 1721, la duchesse de Gramont, devenue veuve, le revendit à Daniel François de Gelas de Voisin (1686-1762), chevalier d’Ambre et comte de Lautrec. C’est de la fenêtre du salon de cet hôtel particulier que le petit Louis XV assista incognito en 1721 au magnifique cortège de l’ambassadeur de la Sublime Porte (l’Empire Ottoman). En 1898, le bâtiment fut transformé en hôtel de voyageurs par César Ritz. Aujourd’hui, l’établissement appartient au milliardaire égyptien Mohamed Al-Fayed. L’établissement a défrayé la chronique le soir du 31 août 1997 lorsque son fils Dodi et la princesse Lady Diana le quittèrent avant de trouver la mort sous le tunnel de l’Alma.
  • L’Hôtel Heuzé de Vologer (n°4) tire son nom de Geoffroy Chalut de Vérin, fermier-général qui en acheta le tiers avec sa femme Élisabeth de Varanchan en 1751. Le prince Louis-Napoléon Bonaparte, futur Napoléon III, y résida en 1848 lorsqu’il était président de la République.
  • L’Hôtel Baudard de Saint-James (n°12). Acquis en 1699 par les financiers Herlaut et Besnier, le lot a été revenu en 1700 à Louis Dublineau, prieur de Longchamp, qui érigea le présent hôtel particulier. Plus tard, en 1777, l’immeuble fut acquis par Claude Baudard de Saint-James, créateur de la Folie Saint-James à Neuilly-sur-Seine. Il fut le siège de l’ambassade de Russie et c’est au premier étage que Frédéric Chopin mourut de la tuberculose en 1849. Napoléon III y rencontra sa future épouse, la comtesse Manuela de Montijo, future impératrice Eugénie. Aujourd’hui, le bâtiment abrite le joaillier Chaumet.

La Place Vendôme : tant de luxe en un seul lieu !

Considéré par les Français comme le centre mondial de la joaillerie, la Place Vendôme abrite parmi les enseignes les plus réputées : Boucheron, Chaumet, Mauboussin, Cartier, Van Cleef et Arpels.

La place Vendôme, ses bijouteries et ses joailleries © French Moments

Le quartier autour de la place (rue de la Paix, rue Saint Honoré et rue de Castiglione) fourmille de parfumeries, d’orfèvres, de cristalleries, de banques, de maisons de couture et de bijoutiers, sans oublier le mythique hôtel Ritz, un des premiers palaces parisiens marqué par le passage de Proust et de la princesse Diana.

Hôtel du Ritz, place Vendôme © French Moments

La restauration de la place en 1992 a contribué à faire de la Place Vendôme un haut lieu touristique, un joyau merveilleusement mis en valeur dès la tombée de la nuit par un savant éclairage.

La Place Vendôme : un hommage à la ville de Vendôme

Quel lien unit la Place Vendôme à la ville de Vendôme dans le Loir et Cher ?

La ville de Vendôme dans le Loir-et-Cher © French Moments

Il faut rechercher très loin dans l’histoire, à l’origine même de la place, lorsque son emplacement actuel était occupé par l’hôtel du duc de Vendôme.

Le duché de Vendôme (et avant lui le comté de Vendôme) a appartenu à une branche de la famille royale : les Bourbon-Vendôme.

Aujourd’hui, les limites traditionnelles du duché correspondent plus ou moins au pays du Vendômois, constitué dans l’arrondissement de Vendôme, au nord du département du Loir-et-Cher (préfecture : Blois), de part et d’autre de la rivière du Loir (à ne pas confondre avec la Loire !).

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5 réponses à Visite guidée de la Place Vendôme à Paris

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  3. Mme Charbonnel dit :

    Visite fort captivante et étant responsable de la section culturelle d’une association de retraités et organisant des visites parisiennes,j’aimerais savoir s’il existe des visites, sur place , de ce lieu avec ,peut-etre, une entrée ou deux dans ces hotels fabuleux. Ceci ne serait que pour le dernier trimestre 2015.
    Avec mes remerciements acceptez toute ma cordialité
    Mme Charbonnel

  4. Roselyne Gerszewski dit :

    Je suis en train de fair de la recherche pour un livre de John Law. Je ne trouve pas qu’il est jamais habite place Vendome, mais une Personne, du non de Antoine Crozat s’est fait construire un hotel particulier en 1704. Ensuite il a continue a faire un autre batiment pour son genre, Le Comte de »Evreux, qui est a cote de lui. L’hotel d’Evreux existe toujours au 19 Place Vendome, et Antoine Crozat lui etait au 17. Ceci me vient de mes recherches et aussi du Livre excellent de Pierre Menard « Le Francais qui possedait l’Amerique ».
    Je serait tres contente de vraiment savoir ou John Law habitait. Rue Quincompoix etait sa banque. Merci.

  5. Roselyne Gerszewski dit :

    Oh, desole. Je tape sur un clavier Americain, donc, pas d’accent.

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